Le prix EY de la start-up de l’année décerné à Jolimoi
Sa dirigeante, Isabelle Rabier, a adopté le modèle de social selling à domicile. Elle s’appuie sur un réseau de commerciaux freelances pour développer l’activité de son entreprise. Mais pour se démarquer, l’enseigne propose en même temps des conseils d’achat personnalisés.
Une soixantaine de marques de cosmétiques référencée
Ce concept a séduit un grand nombre de marques de cosmétiques. Actuellement, Jolimoi travaille en partenariat avec 60 marques de produits de beauté.
Les commerciaux du réseau, baptisés « les stylistes de beauté », seront assistés par un chatbot qui se sert d’un algorithme pour présélectionner les produits correspondant aux particularités physiologiques et aux envies de chaque client potentiel.
Soucieuse d’instaurer une relation de confiance entre ses vendeurs et les clients, l’entreprise choisit de travailler en particulier avec des personnes possédant des expertises spécifiques (peau, cheveux ).
Celles-ci reçoivent des formations en accord avec leurs spécialités avant de commencer leurs activités de vente en ligne. Cette démarche leur permet d’offrir des conseils personnalisés à leurs clients en se basant sur la présélection effectuée par le chatbot.
Après être parvenu à boucler un tour de table de 7 millions d’euros en série A, Jolimoi passe à la vitesse supérieure : l’entreprise va recruter 30 nouveaux collaborateurs d’ici fin 2022, améliorer son algorithme, investir dans l’acquisition des données et partir à la conquête du marché international.
À noter que la start-up est déjà présente sur le marché belge et compte développer son activité dans d’autres pays du sud de l’Europe dans les prochaines années.
Devenir microentrepreneur, une idée intéressante pour les porteurs de projet
Ceux qui souhaitent démarrer une activité en indépendant peuvent choisir entre différents statuts pour mettre en uvre leurs projets.
Mais la manière la plus simple de concrétiser ses rêves est d’opter pour la création d’une microentreprise.
En effet, les démarches de création et la gestion au quotidien de la microentreprise sont simplifiées. D’autre part, ce statut est accessible au plus grand nombre et comprend peu de contraintes.
Le statut d’auto-entrepreneur est loin d’être un long fleuve tranquille. À la différence des salariés, les micro-entrepreneurs sont seuls responsables de leurs actes professionnels et les risques encourus sont plus nombreux. Pour anticiper ces risques, il est préconisé de souscrire le plus tôt possible une assurance professionnelle adaptée à ses besoins. Auto-entrepreneur : le choix …
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