Accompagnement des start-ups : le French Tech DeepNum20 a rendu son verdict
Il ne s’agit pas de récompenser l’entreprise la plus rentable, mais plutôt d’accompagner celles qui présentent un business plan cohérent et, surtout, apportent une innovation de rupture. Le but de cet événement est également de constituer le réseau professionnel des start-ups sélectionnées.
Qui sont les heureuses élues ?
La raison d’être du programme French Tech DeepNum 20 est d’accompagner les jeunes pousses dans leur processus de croissance. Mais celui-ci ne s’adresse pas à toutes les start-ups. Des critères de sélection existent.
- Tout d’abord, cette offre est destinée plus particulièrement aux start-ups uvrant dans le domaine de la cybersécurité, de l’intelligence artificielle (IA), de l’informatique quantique, de l’internet 5G ou encore de la robotique.
- Ensuite, le programme ne vient pas récompenser les jeunes pousses les plus rentables, mais soutenir celles qui présentent ce que l’on appelle une « innovation de rupture ». Autrement dit, celles qui ont inventé une technologie susceptible d’entraîner un changement majeur dans leur domaine.
Cette première promotion comptera seulement 22 jeunes pousses retenues alors que plus de 400 entreprises ont déposé leur candidature.
Les noms des heureux lauréats viennent d’être dévoilés. Par ordre alphabétique, on retrouve :
- Aleia ;
- Alice & Bob ;
- Amiral Technologies ;
- Cailabs ;
- Clever Cloud ;
- Firecell ;
- Ganymed Robotics ;
- Giskard ;
- Glimps ;
- Ladys ;
- Kermap ;
- Lexistems ;
- MyDataModels ;
- Olvid ;
- Pasqal ;
- Qarnot Computing ;
- Quandela ;
- Scintil ;
- Snowpack ;
- Spaceable ;
- Spectronite ;
- XXII.
Inciter les jeunes à entreprendre
À travers des programmes comme celui-ci, le gouvernement cherche à motiver les jeunes à se lancer dans la création de microentreprise.
La procédure d’obtention du statut a été simplifiée au possible et des avantages non négligeables ont été accordés à ceux qui veulent bien se lancer dans l’aventure.
Par exemple, le montant des cotisations sociales a été indexé sur le chiffre d’affaires. Si ce dernier est faible, les cotisations sociales sont également moindres. S’il est nul, le micro-entrepreneur n’aura rien à payer.
D’autres avantages appréciables peuvent encourager le travailleur indépendant à franchir le pas de l’auto-entrepreneuriat. L’une des plus évidentes est l’exonération de la TVA (offres soumises à conditions), mais il existe aussi, entre autres, la possibilité de cumuler la microentreprise et une activité salariale.
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