Question dans Web, informatique et multimédia
Je ne sais pas du tout si le fait d'avoir reçu un Siren et un Siret signifie que mon dossier a été validé dans la catégorie "commerce". Si quelqu'un a des infos sûres la-dessus, ça m'intéresse!
Je vise du reportage de mariage et d'entreprise qui correspond bien au fait de revendre un produit fini que j'achète (album par exemple) donc pour moi ça signifiait commerce.
J'attends des réponses plus claires et je vous tiendrai informé à mesure que ça avance
Je vise du reportage de mariage et d'entreprise qui correspond bien au fait de revendre un produit fini que j'achète (album par exemple) donc pour moi ça signifiait commerce.
J'attends des réponses plus claires et je vous tiendrai informé à mesure que ça avance
Bonjour,
Je pense qu'il n'y a pas de problème selon la description de ce code ici: http://recherche-naf.insee.fr/SIRENET_C ... /7420z.HTM
Par contre, moi je ne me suis pas encore inscrit, ne sachant pas s'il faut cocher activité commerciale ou artisanale...Sachant que photographe est reconnu à la chambre des métiers, donc artisan. Mais cela n'a peut être pas d'incidence puisque tu t'es inscrit en commerce et tu as le bon N° Naf! De même, un artisan peut déclarer des BIC!
Je pense qu'il n'y a pas de problème selon la description de ce code ici: http://recherche-naf.insee.fr/SIRENET_C ... /7420z.HTM
Par contre, moi je ne me suis pas encore inscrit, ne sachant pas s'il faut cocher activité commerciale ou artisanale...Sachant que photographe est reconnu à la chambre des métiers, donc artisan. Mais cela n'a peut être pas d'incidence puisque tu t'es inscrit en commerce et tu as le bon N° Naf! De même, un artisan peut déclarer des BIC!
S'établir ici, c'est un cauchemar. J'ai passé les 5 dernières années dans un pays ou pour exercer (légalement) en tant que photographe il me suffisait de trouver des clients et commencer à faire mon travail et à me faire payer, puis déclarer tout ça dans ma déclaration annuelle de revenus. Pourquoi est-il si compliqué ici d'essayer de prospérer? Toutes ces complications ne semblent être nées que de la grande crainte de l'État de ne pas pouvoir encaisser assez d'impôts. il vaut mieux donc empêcher le développement plutôt que de courir ce risque.
Je pensais que ce nouveau statut me permettrait de redémarrer ici mon activité de photographe en parallèle avec mon emploi (et en principal si ça fonctionne) et je constate que c'est toujours aussi compliqué et incertain.
Dans mon cas, je veux faire des portraits et photos de mode avec certainement livraison de copies numériques et aussi éventuellement d'impressions, mais aussi de services aux entreprises (pub, immobilier, tourisme etc.), ainsi que des licences et du travail d'auteur ou bien d'art (déjà fait des expos par le passé). Devrais-je carrément renoncer aux impressions et ne fournir que des fichiers électroniques pour éviter tout mélange de statut? Pour ce qui est des DVDs, moi ce que je vends ce sont les photos stockées sur le DVD, fruits de mon travail, et non le bout de plastique qui coûte 10 cents. le DVD c'est comme le sac des courses, il ne sert qu'à transporter le produit, au même titre que l'email.
Pourquoi ne peut-on jamais rien faire simplement en France? et surtout savoir évoluer avec son temps...
Je pensais que ce nouveau statut me permettrait de redémarrer ici mon activité de photographe en parallèle avec mon emploi (et en principal si ça fonctionne) et je constate que c'est toujours aussi compliqué et incertain.
Dans mon cas, je veux faire des portraits et photos de mode avec certainement livraison de copies numériques et aussi éventuellement d'impressions, mais aussi de services aux entreprises (pub, immobilier, tourisme etc.), ainsi que des licences et du travail d'auteur ou bien d'art (déjà fait des expos par le passé). Devrais-je carrément renoncer aux impressions et ne fournir que des fichiers électroniques pour éviter tout mélange de statut? Pour ce qui est des DVDs, moi ce que je vends ce sont les photos stockées sur le DVD, fruits de mon travail, et non le bout de plastique qui coûte 10 cents. le DVD c'est comme le sac des courses, il ne sert qu'à transporter le produit, au même titre que l'email.
Pourquoi ne peut-on jamais rien faire simplement en France? et surtout savoir évoluer avec son temps...
[quote="LeChuck"]Pourquoi ne peut-on jamais rien faire simplement en France? et surtout savoir évoluer avec son temps...[/quote]
Je partage en partie ton appréciation, mais pour une fois que quelque chose allant dans le sens d'une simplification [i]violente[/i] voire expérimentale se produit dans des délais très courts il ne faut pas s'étonner que derrière il puisse y avoir plein de choses qui ne suivent pas.
Néanmoins, ce nouveau statut crée justement une brèche, qui sera sans nul doute analysée en détail, dans un mécanisme administratif et règlementaire plus que lourd.
C'est justement l'occasion de peser sur les règles du jeu et d'imposer une [b]évolution[/b] ; il y a 200.000 AE attendus en 2009 qui vont [i]peut-être[/i] amener significativement de la croissance et des revenus sociaux et fiscaux.
À travers les témoignages ici bas nul doute que l'administration est quelque peu perturbée (ce n'est pas péjoratif) par ce chamboulement et qu'une marge de tolérance existera avant éventuellement une règlementation plus stricte.
Donc il faut se lancer quitte à réaliser des approximations sur les codes NAF qui ne sont pas toujours représentatifs d'une activité.
Bref, au contraire il y a quelque chose de (presque) simple qui permet de se lancer en minimisant les risques, ça va vraiment dans le sens de l'esprit d'entrepreneur, peut être faut-il plutôt s'en réjouir que de rappeler que le gaulois est râleur ;-)
Je partage en partie ton appréciation, mais pour une fois que quelque chose allant dans le sens d'une simplification [i]violente[/i] voire expérimentale se produit dans des délais très courts il ne faut pas s'étonner que derrière il puisse y avoir plein de choses qui ne suivent pas.
Néanmoins, ce nouveau statut crée justement une brèche, qui sera sans nul doute analysée en détail, dans un mécanisme administratif et règlementaire plus que lourd.
C'est justement l'occasion de peser sur les règles du jeu et d'imposer une [b]évolution[/b] ; il y a 200.000 AE attendus en 2009 qui vont [i]peut-être[/i] amener significativement de la croissance et des revenus sociaux et fiscaux.
À travers les témoignages ici bas nul doute que l'administration est quelque peu perturbée (ce n'est pas péjoratif) par ce chamboulement et qu'une marge de tolérance existera avant éventuellement une règlementation plus stricte.
Donc il faut se lancer quitte à réaliser des approximations sur les codes NAF qui ne sont pas toujours représentatifs d'une activité.
Bref, au contraire il y a quelque chose de (presque) simple qui permet de se lancer en minimisant les risques, ça va vraiment dans le sens de l'esprit d'entrepreneur, peut être faut-il plutôt s'en réjouir que de rappeler que le gaulois est râleur ;-)
Bonjour à tous
Merci DanFaure pour tes indications hier au forum des associations
Pour mon cas je suis déjà inscrit en entreprise individuelle à la chambre des métiers en tant que photographe avec le code NAF suivant : 7420Z.
Ma spécialité principale est ou plutôt était la photo aérienne, mais le secteur étant très difficile je ne vais plus proposé que du mariage ou du portrait en complément d'une activité salarié, le statut AE serait donc pour moi idéal.
J'ai rdv à la chambre de métiers de Perpignan Jeudi prochain pour voir comment changer mon statut et de même si de sté de service je peut me déclarer en commerce car il est vrai que sur un mariage il y a bien un reportage mais au final on vent un produit transformé à savoir un album, un livre ou des tirages papier, pour moi il y à donc bien la vente d'un produit.......
Je vous tiendrais au courant de ce que j'ai pu apprendre de mon RDV de Jeudi (en espérant ne pas tomber sur le même conseillé que fish eye )
Merci DanFaure pour tes indications hier au forum des associations
Pour mon cas je suis déjà inscrit en entreprise individuelle à la chambre des métiers en tant que photographe avec le code NAF suivant : 7420Z.
Ma spécialité principale est ou plutôt était la photo aérienne, mais le secteur étant très difficile je ne vais plus proposé que du mariage ou du portrait en complément d'une activité salarié, le statut AE serait donc pour moi idéal.
J'ai rdv à la chambre de métiers de Perpignan Jeudi prochain pour voir comment changer mon statut et de même si de sté de service je peut me déclarer en commerce car il est vrai que sur un mariage il y a bien un reportage mais au final on vent un produit transformé à savoir un album, un livre ou des tirages papier, pour moi il y à donc bien la vente d'un produit.......
Je vous tiendrais au courant de ce que j'ai pu apprendre de mon RDV de Jeudi (en espérant ne pas tomber sur le même conseillé que fish eye )
Je viens de lire avec attention ce fil car j'ai aussi dans l'idée de faire des photos de mariage. Etant fonctionnaire je dois d'abord faire mon courrier à mon administration et je ne pourrais débuter mon activité que dans 2 mois.
Par contre je souhaiterai revenir sur la catégorie d'activité à laquelle correspond l'activité de photographe. D'après mes recherches, un photographe qui fait que de la prise de vue peut être soit artisan, soit auteur indépendant, soit salarié. Seul les revendeur de matériel peuvent prétendre au statut de commençant. Ceci est confirmer dans le lien suivant :
[url]http://www.netpme.fr/creation-entreprise/277-votre-activite-est-elle-commerciale-artisanale-liberale.html[/url]
C'est normal puisque être commençant implique l'achat de produits destinés à la revente en vue d'en tirer un bénéfice. Etre artisan implique la "vente" d'un savoir-faire. Pour la réalisation de ce savoir-faire, un atrisan peut être amené à acheter des produits qui seront transformés (ex un menuisier ou un charcutier). Ces savoir-faire peuvent être des activités services (ex : reperer un ordinateur...). L'activité de photographe (sous-entendu prise de vue) est bien une vente de savoir-faire sous la forme d'une activité de service. Le fait de remettre un album qu'on aurait acheté ne peut pas s'apparenter à du commerce car l'album acheté subit une transformation par le photographe avant la remise au client.
Par contre je souhaiterai revenir sur la catégorie d'activité à laquelle correspond l'activité de photographe. D'après mes recherches, un photographe qui fait que de la prise de vue peut être soit artisan, soit auteur indépendant, soit salarié. Seul les revendeur de matériel peuvent prétendre au statut de commençant. Ceci est confirmer dans le lien suivant :
[url]http://www.netpme.fr/creation-entreprise/277-votre-activite-est-elle-commerciale-artisanale-liberale.html[/url]
C'est normal puisque être commençant implique l'achat de produits destinés à la revente en vue d'en tirer un bénéfice. Etre artisan implique la "vente" d'un savoir-faire. Pour la réalisation de ce savoir-faire, un atrisan peut être amené à acheter des produits qui seront transformés (ex un menuisier ou un charcutier). Ces savoir-faire peuvent être des activités services (ex : reperer un ordinateur...). L'activité de photographe (sous-entendu prise de vue) est bien une vente de savoir-faire sous la forme d'une activité de service. Le fait de remettre un album qu'on aurait acheté ne peut pas s'apparenter à du commerce car l'album acheté subit une transformation par le photographe avant la remise au client.
Bonjour,
Suite au lien de Sebla:
Première ligne des actes relevant du [b]commerçant[/b]: "tout achat de biens meubles pour les revendre, soit en nature, soit après les avoir travaillés et mis en oeuvre "...
"Travaux photographiques" figure bien dans la définition d'[b]artisan[/b]...
D'où le problème redondant sur ce forum de la question du photographe!
Et à ce jour, il n'existe pas de réponses sûres (c'est à dire avec des sources officielles)...
Tout au plus, selon les renseignements glanés par les un et les autres, orientent la réflexion sur une double déclaration: une partie déclarée en service (BNC) et l'autre en BIC (achat/revente). Reste à définir comment répartir la déclaration de ses bénéfices lorsque, par exemple, on couvre un mariage, avec prestation de fournitures (Album, tirages, cadres toilés etc...)
Pour info, mon centre des împots (RSI) contacté par téléphone ainsi que mon conseiller de la chambre de commerce m'ont dit que cela relevait du commerce... Mais ce n'est pas une information que l'on peut qualifier d'officielle...
Pour modérer l'analyse de Sebla, le fait de transformer un produit, n'empêche en rien d'être du commerce: Cf première ligne des actes relevant du commerçant...
Suite au lien de Sebla:
Première ligne des actes relevant du [b]commerçant[/b]: "tout achat de biens meubles pour les revendre, soit en nature, soit après les avoir travaillés et mis en oeuvre "...
"Travaux photographiques" figure bien dans la définition d'[b]artisan[/b]...
D'où le problème redondant sur ce forum de la question du photographe!
Et à ce jour, il n'existe pas de réponses sûres (c'est à dire avec des sources officielles)...
Tout au plus, selon les renseignements glanés par les un et les autres, orientent la réflexion sur une double déclaration: une partie déclarée en service (BNC) et l'autre en BIC (achat/revente). Reste à définir comment répartir la déclaration de ses bénéfices lorsque, par exemple, on couvre un mariage, avec prestation de fournitures (Album, tirages, cadres toilés etc...)
Pour info, mon centre des împots (RSI) contacté par téléphone ainsi que mon conseiller de la chambre de commerce m'ont dit que cela relevait du commerce... Mais ce n'est pas une information que l'on peut qualifier d'officielle...
Pour modérer l'analyse de Sebla, le fait de transformer un produit, n'empêche en rien d'être du commerce: Cf première ligne des actes relevant du commerçant...
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